mercredi 1 mars 2017

Tuons le Capital avant qu’il ne nous tue


La révolution, c'est maintenant !

(Le billet de Loup Rebel)

Si nous ne voulons pas que le Capital nous tue,
nous devrons tuer le Capital.
Nous n’avons pas d’autres alternatives que de sacrifier
ces 1 % de la population pour sauver les autres 99 %
Nous devons le faire ! Faisons-le !

« Si nous voulons inverser la stratégie de la mondialisation capitaliste, nous devons nous unir, avoir pour objectif de déposséder les grands actionnaires des moyens de production, pour les mettre à la disposition des peuples. Ce mouvement doit être planétaire. De l’autre côté, sur le continent latino-américain on remarque que le tonnerre gronde, nombreux sont les pays qui refusent de se soumettre à la domination dictée par les stratèges de l’ombre de la grande finance.

Le dévoiement que l’on a connu dans les républiques de l’est ne doit pas faire renoncer les peuples à construire un avenir meilleur, non pas pour reconstruire ce qui a échoué, mais pour réellement édifier la société moderne dont l’homme a besoin aujourd’hui, celle qui produira une mondialisation voulue par les peuples, celle où l’indépendance de chacun sera respectée, celle de la coopération pour l’exploitation des ressources, celle de la fraternité et de la paix. Et si toutefois le frein à cette marche révolutionnaire était un nom ou un mot, il ne faudrait pas que les révolutionnaires de demain s’embarrassent de ces particules pour conduire cette révolution, l’important étant le contenu et non pas la forme, qui elle, s’inscrit dans la pensée réactionnaire.

La planète va mal, c’est une guerre économique, écologique, qui est en mouvement. Elle est mondiale, parfois avec des armes, parfois sans armes, mais l’objectif des nantis de la terre est le même : l’asservissement des peuples au service d’une poignée de riches.


(Voir la vidéo)


Les combats sont rudes, aucune solution ne doit être négligée, l’homme peut se sauver et sauver la planète de cette apocalypse qui l’attend. Pour cela, tous unis, gens du peuple, scientifiques, intellectuels, savants, philosophes, doivent s’unir en mobilisant toute leur énergie et agir sans relâche contre ces malfaisants qui méprisent la condition humaine pour augmenter leurs profits.

Dans cette guerre, espérons que les peuples du monde ne laisseront pas le dernier mot à ces parasites qui détruisent la planète et les hommes qui l’habitent, et qu’ensemble, nous réussirons à les éradiquer pour aller vers un monde de paix et de fraternité.
 »

(Texte inspiré des propos de Roland Vartanian)


Francis Cousin :

« Ou on détruit le capital,
ou le capital nous détruit »


Francis Cousin : la crise terminale du Capital
la crise est le moment du choix, le moment ou un choix radical doit être fait :
continuer dans la société de l'argent qui détruira tout, ou créer la communauté de l'être

« la crise terminale du Capital n'est pas seulement une crise économique, c'est également une crise ontologique, c'est la crise du Tout

Les pesticides, l'extinction des espèces animales et végétales, la pollution de l'air, de la terre, des océans, les cancers, les maladies dégénératives, la destruction des identités sexuelles, le terrorisme d'état, les guerres en Syrie, en Ukraine, en Irak, en Libye, toutes les guerres, la réécriture de l'histoire, les maladies mentales, la misère sexuelle, la pornographie, les suicides, les antidépresseurs, le chaos migratoire, l'aliénation au travail, la marchandisation des foetus, la mafia, les drogues, la pédocriminalité, la pauvreté, les divertissements du faux plaisir, la crise mondiale du crédit et de l'endettement, les relations factices et narcissiques à l'autre, la misère des relations, l'avortement généralisé, les radiations électromagnétiques, les épandages chimiques aériens, les déchets nucléaires.

Partout où que l'on regarde, quel que soit le champ donné, tout est en train de fissurer, tout s'effondre. Tout partout est en train de craquer et le Capital n'a plus d'autres issus que la manipulation terroriste, la manipulation monétaire et le chaos migratoire pour enrayer la lutte.

Cela fait bien longtemps que l'homme et son extériorité sont devenus marchandises, des biens que l'on vend et que l'on achète, désacralisés.

Le Capital dans sa phase ultime et dernière a désacralisé la chose la plus sacrée en ce monde, le foetus, symbole du devenir de l'humanité, en généralisant l'avortement puis en généralisant la marchandisation de celui-ci, la désacralisation-destruction est donc totalement advenue, l'homme, qui est la nature, a tué son dehors et son dedans, la nature se tue elle-même.

Invisible à l’œil, la destruction du vivant est maintenant universelle et permanente à chaque instant grâce à la pollution de l'air, de l'eau, de la terre, aux radiations, qui viennent altérer les atomes, nos atomes, notre intimité la plus profonde est dévorée par le capital.

Le capital est un cannibalisme de pandestruction.

On ne peut plus rien reformer en effectivité réelle si on ne détruit pas tout.

L'idée qu'on pourrait construire un mur momentané sur un sujet donné par rapport à une destruction donnée est une illusion.

La seule idée qui puisse tenir où toute l'inhumanité du capital est en mouvement, c'est qu'il faut s'affronter contre la totalité du capital.

Tout se tient aujourd'hui en une unité parfaite : le capital est vampirisme de la vie, il est destruction absolue de notre essence.

Face à l'absolue dévastation, la seule riposte est l'absolue récusation.

Le compromis n'est plus possible.

La crise : du grec krisis κρίσις, action de faire un choix, de faire un jugement.

Nous sommes en état de crise totale, nous sommes dans la position ou nous devons faire un choix décisif, radical, ontologique.

La crise est le moment du jugement, la crise dernière, celui du jugement dernier, le moment du choix, l'indistinction générale oblige la distinction.

La crise est le moment du choix, le moment ou un choix radical doit être fait :

  • continuer dans la société de l'argent qui détruira tout, 
  • ou créer la communauté de l'être. »

(Francis Cousin)



Loup
Loup Rebel
Loup Rebel

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