(Le billet de Loup Rebel)
Les élus ne représentent pas les Français,
ils sont les représentant du pouvoir.
La principale préoccupation de l'élu,
c'est sa carrière politique.
Le sort des Françaises et des Français,
il s'en fout éperdument.
ils sont les représentant du pouvoir.
La principale préoccupation de l'élu,
c'est sa carrière politique.
Le sort des Françaises et des Français,
il s'en fout éperdument.
Écoutez, braves gens, que je vous conte l'histoire des bonimenteurs comptables qui comptent les Français, en comptant ceux qui comptent, et ceux qui ne comptent pas...!
Cela ne vous aura pas échappé, les résultats des élections sont toujours présentés en pourcentage... (% des Françaises et des Français ?)
La règle, définie par on ne sait plus qui ni on ne sait pas au nom de quoi, étant qu'un candidat, pour être déclaré apte à représenter les 100 % doit se voir "approuvé" par la majorité dite "absolue". Et "ils" ont décidé que cet "absolu" serait 50 % plus une voix. Ne me demandez pas pourquoi, je ne faisais pas partie de ceux qui en ont décidé ainsi.
Où les choses se compliquent, c'est quand il a fallu décider quels seraient les Français "qui comptent", et ceux qui "ne comptent pas".
Comment ça des Français qui ne comptent pas ?
Si si, il en a été décidé ainsi, pour vous motiver insidieusement à vous "soumettre volontairement" à la plus grande tromperie de toute l'histoire de l'humanité.
Et voilà ! Le compte est bon, pour la minorité des Français qui comptent, puisqu'il a été décidé, on ne sait plus par qui ni pour quoi, que pour "compter", un Français doit participer au rituel électoral. Tout Français qui ne participe pas, ou s'avise de déposer dans l'urne sacrée un bulletin "blanc" pour exprimer son désaccord, ne compte pas. Il est donc interdit de ne pas être d'accord, sous peine de "destitution citoyenne"... Hum ! Ne sentez-vous pas l'odeur nauséabonde de la dictature qui s'échappe des urnes, symbole sacré de la soi-disant démocratie ?
Ainsi, aujourd'hui la France ne compte pas 66 millions de Françaises et de Français tels qu'ils ont été recensés (source). Non, la France ne compte aujourd'hui, au lendemain d'une élection, plus que 21,7 millions de Français (source) "qui comptent", les autres "ne comptent pas".
Et parmi ces 21,7 millions, aux dires de quelques-uns, il faudrait en décompter 6 millions... qui ne devraient pas compter, ou qu'il faudrait éradiquer, au motif qu'ils ne votent pas "comme il faudrait"...
Si mon compte est bon, il ne reste donc plus que 15 millions de Françaises et Français qui comptent.
Revenons aux pourcentages, si chers aux raconteurs comptables qui comptent les Français qui comptent et ceux qui ne comptent pas, pour déclarer que la France qui compte 66 millions de compatriotes n'en compte qu'un peu plus de 22 % qui comptent... les 77 % restant ne comptent pas.
Les faussaires de la démocratie, les imposteurs, sont celles et ceux qui participent — en connaissance de cause — à cette pitoyable bouffonnerie.
Parmi ceux-là, pour faire les comptes jusqu'au bout, on compte 620.000 élus, dont 900 parlementaires (sénat+députés). Et le bidonnage continue de plus belle, car là, les faussaires susnommés nous disent tout de go qu'en France, chaque parlementaire représenterait 70.000 Français (source)... Ah bon ? Voilà que ceux qui ne comptaient pas pour l'élection comptent dans ce décompte de dupes... pour duper encore une fois les Français.
Un simple calcul arithmétique démontre qu'en réalité, puisque les 900 parlementaires ont été désignés par 10,8 millions de Français (50 % des suffrages exprimés), on est loin du compte, et même très loin. On compte alors un parlementaire pour 12.000 Français... et non pas pour 70.000 !
Les élus ne représentent pas les Français,
ils sont les représentants du pouvoir.
La principale préoccupation de l'élu, c'est sa carrière politique.
Le sort des Françaises et des Français,
il s'en fout éperdument.
Le plus attristant, n'est-ce pas cette minorité de Françaises et Français qui continuent de se faire bananer, faute d'avoir pris conscience de cette pitoyable tromperie ? ils sont les représentants du pouvoir.
La principale préoccupation de l'élu, c'est sa carrière politique.
Le sort des Françaises et des Français,
il s'en fout éperdument.
En finir avec l'élection des escrocs
L'élection n'est pas le signe de la démocratie.
Rien n’empêche un dictateur de se faire élire, sur des promesses électorales trompeuses !
Rien n’empêche un dictateur de se faire élire, sur des promesses électorales trompeuses !
Loup
Loup Rebel |
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire