lundi 2 décembre 2024

Au dela de l'humanité...?

Source : La Quinta Columna

Nous sommes confrontés à un parasitisme
d’une autre espèce sur l’être humain.



Texte intégral en français de la vidéo :

"Il était clair qu'il se passait quelque chose d’étrange,
qu'ils ne pouvaient comprendre que s'ils considéraient ce qu'ils n'avaient jamais envisagé. 

Qui avait pu les tromper si longtemps, mais surtout, dans quel but ?

Au-delà du graphène, il existe d’autres intentions.
Le graphène obéit à un plan encore plus sombre et plus profond que ce qu’ils nous laisse entendre.

C’est le moyen qui sera utilisé pour transformer l’humanité en une masse neuro-modulable. C'est une utilisation énergétique d'autres espèces au détriment de l'espèce humaine.

Qui est derrière tout cela ?

Des gens très intelligents, dont nous ne savons rien, sauf qu'ils nous dominent depuis toujours.

Ils veulent, disons, que nos corps vibrent énergétiquement d'une certaine manière et pour cela ils utilisent le cerveau.

L’interface liquide permet le contrôle sur le cerveau, et le cerveau, à son tour, module ou génère des changements dans les champs électromagnétiques et bioénergétiques naturel de l'être humain.

Tout ce que nous avons vu dans notre histoire était dû à cet intérêt pour la neuromodulation des êtres humains. Le dernier élément technologique qui leur permet un contrôle absolu sur l'ensemble de la population, c’est précisément l'interface liquide qu’est le graphène, à la base de l’interface liquide qui consiste à introduire non seulement un médicament, mais aussi à introduire quelque chose à l'insu des gens, pour que les cerveaux soient neuromodulables à distance et à volonté.

Ce ne sont plus les gens qui recherchent un médicament, qui se sacrifient, qui partent à la guerre, mais ils imposent simplement l’interface pour avoir le contrôle et pouvoir moduler ces corps énergétiques chez les êtres humains.

Je pense que la neuromodulation vient de très loin et nous en avons la preuve dans les découvertes archéologiques. C'est la trépanation des crânes. Il s'agissait de permettre aux ondes cérébrales d’être plus perceptibles pour eux.

La neuro-archéologie nous a révélé que notre cerveau est la clé de tout.

Toutes les cultures, méso-américaines et de tous les pays, ont une fixation sur le crâne. Dans toutes les cultures la tête a toujours été un symbole de pouvoir. Et cela signifie qu'ici la tête est ce qui compte et c'est ce qu'ils recherchent.

Il s'agit d'obtenir les énergies, pas seulement les têtes, mais les énergies avec lesquelles nous vibrons. En tant qu'êtres vivants que nous sommes, nous avons des champs d’énergie qui nous composent et qu'ils cachent aussi par tous les moyens.

Pour eux le cerveau est la clé, car c'est le cerveau qui va dans une certaine mesure leur permettre d’accéder à notre état vibratoire énergétique.

Nous pouvons nous protéger en sachant que nous devons protéger nos champs d'énergie par tous les moyens possibles.

Ils ont déjà les éléments et maintenant ce dont ils ont besoin, c'est que le bétail accepte cette révolution.

Maintenant il est temps de stabiliser le troupeau, de le mettre à l’étable. Une fois à l’étable, les gens dépendent d'eux pour leur subsistance.

Alors vous savez quelle est la condition pour pouvoir survivre ici ?

La condition sera d'imposer leur interface et aussi de concentrer les gens dans de petites villes séparées par de courte distance, pour que le contrôle (antenne plus le reste) soit d’une performance maximale.

Sans ces informations, nous n'y échapperons pas.
Si vous ne comprenez pas ce qui se passe en réalité en ce moment, il est impossible d'y échapper. En le comprenant, je ne sais pas si nous allons pouvoir nous échapper, mais il y a une possibilité, car toute cette opération se fait dans notre dos.

Il est donc très important que les gens sachent ce qui se passe, non seulement pour être informés et c'est tout, mais puisque cela se fait dans notre dos, Il est logique que nous le dévoilions pour voir si nous pouvons l'arrêter de cette façon. C'est le seul point faible de cette opération. Il faut donc la mener de manière insidieuse,

C'est pour ça que l'interface a été configurée de manière perfide : on nous dit que les antennes (4G, 5G, et plus) sont pour une chose, alors que ce n'est pas pour ça.

C'est pour ça que l'économie s’effondre, parce qu'il y a une guerre en Ukraine qu'ils ont créée.

Ils dirigent tout. La seule chose qu'ils espèrent, c'est que nous, les gens, nous tomberons dans le piège et l’accepterons.

Alors nous serons déjà une espèce, comme ils disent, augmentée. Mais au fond ce n’est pas une espèce augmentée, c'est une espèce neuro-asservie par eux.

Le tranhumanisme est simplement la transformation de l'être humain en quelque chose qui, pour eux, est facilement contrôlable pour changer sa nature.

C'est l'apocalypse et le kaliyuga, etc.

Ils savaient que cela allait arriver à un moment donné. On ne sait pas comment ils l'organisent, mais ils ont toujours été les propriétaires, les propriétaires de cette humanité, ça a toujours été eux.

Nous avons la preuve de leur présence dans l'histoire depuis toujours, grâce aux peintures rupestres. Nous avons beaucoup d’images dans les découvertes d’Ojueles, qu'ils refusent de reconnaître parce qu'ils sont là.

Le phénomène ufologique, nous l'avons vu toute notre vie, mais nous ne le savions pas, nous pensions que c'était des gens de passage qui repartaient aussitôt.

Le problème est que ces gens sont ici et qu’ils ont un plan. On ne sait pas pourquoi on découvre ce plan maintenant, mais pour la première fois dans l'histoire de l'humanité nous les découvrons.

C'est une humanité parasitée par une autre espèce.

Nous devons nous défendre en tant qu'individus et ne pas nous attendre que quelqu’un vienne nous sauver, c'est ce qu'ils veulent,

L'État te protège, te dit « va ici, fais ce qu'on te dit, c'est pour ton bien…»

Ils trompent les gens pour arriver à leurs fins, ils sont nos prédateurs. Et un prédateur se cache toujours, il est toujours dans l'ombre et vous menace.
Nous devons repartir de zéro, et avec cette base essayer de construire une nouvelle humanité, s'ils nous permettent de survivre en tant que nouvelle humanité…

J'en doute, mais il faut essayer.

il y a trois axes dans toute cette histoire sur lesquels il faut attirer l'attention :

  • Le premier est la similitude entre le syndrome d'irradiation aiguë… c'est la maladie à la mode.
  • Le deuxième concerne les effets du graphène sur la biologie humaine et ce qui est observé.
  • Et le dernier est la similitude entre les enlèvements avec implants et le transhumanisme.


Qu’est-ce que le transhumanisme ? C’est l’introduction d'une interface liquide pour vous augmenter.

Cependant, le prix que nous allons payer est celui payé jusqu’à présent par les personnes enlevées (et implantées), dont la plupart finissent très mal.

Roger Leire est un chirurgien qui s'est consacré à l'extraction d'implants chez des personnes enlevées dans les années 80, 90. Eh bien, il s'est rendu compte qu'en analysant avec précision les implants qu’il a trouvés, vous ne pouvez pas imaginer quel matériel il a identifié lorsqu'il les a analysés : du graphène.

Eh bien, ces implants utilisaient précisément le matériau que nous avons trouvé là où vous savez : du graphène…

Alors ce que nous avons aujourd'hui, c'est une opération massive d'enlèvement avec un implant au niveau planétaire...

Nous allons arrêter là. Maintenant, notre combat est d'essayer de faire comprendre aux gens la gravité de ce que nous vivons.

Tout l'agenda 2030 vise à obtenir de l’énergie.
Exactement.
Et pour obtenir de l’énergie des êtres humains, ils s’en prennent à nous.

Le plan pour optimiser cette performance,
c’est l’agenda 2030.
La raison, c’est qu’ils vivent de notre énergie."


 


Loup
Loup Rebel
Loup Rebel

vendredi 15 novembre 2024

Élections de Trump… Une victoire pour qui ?


Une analyse intéressante sur l'élection de Trump...
et surtout sur le rôle d'Elon Musk…

Les dissidents ont-il raison de s'extasier du succès de Trump ?

Grâce à lui, se disent-ils, les responsables du covid, des injections et de la censure vont payer. Dans le même temps, ajoutent-ils, on aura la paix en Ukraine, et qui sait, en Palestine aussi. 

De leur coté, les mondialistes (et la gauche qui les soutient) se disent épouvantés de voir qu'un homme décrit comme misogyne et raciste, en plus de déclarer ne pas croire au changement climatique, prenne le pouvoir.

On nous parle des réformes que Kennedy va mener dans le domaine de la santé, ce qui semble une bonne nouvelle.

En revanche, célébrer la nomination d'Elon Musk à la tête d'un ministère de l’Efficacité gouvernementale n'est pas de bonne augure. Voyons pourquoi…

Qu'en est-il d'Elon Musk ?

  1. La face lumineuse… de la séduction :
    Elon Musk avance comme le garant de la liberté d'expression et jouit donc d'une bonne image. Il a aussi son public à gauche, avec Tesla et sa volonté de passer aux énergies renouvelables, même s'il est régulièrement traité de raciste ou autre.
  2. La face sombre… du transhumanisme : 
    • Elon Musk, c'est X (Tweeter), qui canalise et contrôle une bonne partie des communications mondiales, dont celle de la dissidence. 
    • C'est aussi Space X, les milliers de satellites qui, outre l'implantation d'une ceinture 5G autour de la planète, permet de contrôler et surveiller chaque centimètre carré de nos espaces de vie. 
    • C'est surtout Neuralink, qui promet de connecter notre cerveau à l'IA…
      C'est le transhumanisme en marche…!

Alors que Trump s'occupe de l'économie du 20e siècle (énergies fossiles, autorités de santé, droits de douane, immigration, etc.), Musk est le leader concernant celle du 21e siècle.
Il nous conduit tout droit vers le transhumanisme et une société de contrôle.
Deux choses que désire ardemment l'oligarchie.
Et il va se retrouver au cœur de la prochaine administration… c'est lui qui va la diriger…

Finalement, cette apparente défaite des mondialistes ne serait-elle pas davantage le triomphe de l'oligarchie ?
Et… l'oligarchie n'est-elle pas mondialiste…?

Un article de Réinfo Québec fait le point :
"Et à la fin, c’est l’oligarchie qui gagne"
Trump a remporté l’élection américaine, haut la main.
La gauche est horrifiée tandis que la droite exulte.
Qu’en penser?

Les Américains ont donc choisi Donald Trump comme leur représentant au poste suprême. Mais l’ont-ils vraiment choisi ? En effet, le “choix” est particulièrement limité puisqu’il se limite à deux candidats soutenus par les deux principaux partis du pays.
 […]

Cliquer sur l'image pour lire l'article :




Loup
Loup Rebel
Loup Rebel


dimanche 3 novembre 2024

L'État profond américain sort de l'ombre...?

Qui dirige le monde, réellement ?  

03/01/2023 

Source :
Article publié initialement par le site tsargrad.tv en 2 parties, réunis ici en un seul texte.
Lien vers la ➤ première partie
Lien vers la
➤ deuxième parties.

Secret de polichinelle?

 Ce n'est que ces dernières années que parler de « l'État profond » et d'une organisation secrète dirigeant les États-Unis est devenu de mauvais goût pour les Américains. Avant cela, diverses tentatives ont été faites pour parler du rôle des Rockefeller, des Rothschild, des Morgan. Mais maintenant, les joueurs sont complètement sortis de l'ombre. 

Une analyse des subtilités de la gouvernance américaine, en rappelant les concepts de base, par le politologue et publiciste Igor Pshenichnikov.

L'« American Establishment » en question

La question de savoir s'il existe une sorte de pouvoir caché aux États-Unis qui dirige réellement le pays et en partie le monde entier et entre les mains de qui se trouvent les fils de la  gestion du président lui-même et du congrès a fait l'objet d'une discussion dans les journaux en Amérique dans les années 70 et 80 du siècle dernier. L'apogée de cette discussion fut la publication en 1980 du livre toujours populaire des politologues américains Leonard Silk et Mark Silk "American Establishment" (Leonard Silk,‎ Mark Silk - American Establishment), dans lequel les auteurs, père et fils, établissent eux-mêmes la tâche de comprendre le mécanisme de prise de décision du gouvernement aux États-Unis. 

La légende est ancienne - les haut-parleurs sont nouveaux

L'ancien président américain Donald Trump est devenu le principal défenseur de la théorie du complot de "l'État profond" des temps modernes. Et, soyons honnêtes, après des tentatives à grande échelle pour éliminer Trump, il veut immédiatement croire. Mais revenons à l'essentiel. L'« État profond » (État profond, comme on l'appelle en Amérique), l'establishment libéral, l'élite mondialiste, le « marais de Washington » (selon les termes de Trump) - ce sont toutes des définitions différentes, mais synonymes du même sujet, qui apparaît souvent sous ces définitions dans la presse actuelle.

Les auteurs du livre "The American Establishment" ont révélé au monde les cinq plus grandes "institutions" qui gouvernent l'Amérique. Selon eux, ce sont :

Remarque importante : Le Council on Foreign Relations entretient des liens étroits avec la fameuse "Commission trilatérale", qui est une sorte de club qui rassemble les plus grands banquiers et entrepreneurs, les principaux politiciens des pays occidentaux et vise à "rechercher des solutions aux problèmes mondiaux ."

Il en ressort clairement que «l'État profond» consiste en un groupe décent de «citoyens» qui, ensemble, se distinguent par de sérieuses capacités d'analyse et de prévision, sont des «maîtres de l'argent» (les plus grands banquiers siègent à Wall Street à New York) et propriétaires de sociétés transnationales (STN) : ce sont les plus grands entrepreneurs, ils ont le pouvoir politique ou ont un pouvoir réel sur ceux qui ont formellement le pouvoir politique. Et en plus de cela, «l'État profond» regarde bien au-delà des frontières nationales des États-Unis.

Passons maintenant aux personnalités.

De diverses sources, on peut déterrer des informations sur la composition personnelle de «l'État profond», même si, bien sûr, il faut comprendre que toutes ces personnes seront les premières à nier l'existence d'une sorte de pouvoir secret et d'implication dans il. Ainsi, les finances sont commandées par les familles qui ont créé le système de réserve fédérale. Ce sont les "maîtres de l'argent" - les Rockefeller, les Rothschild, les Morgan. Parmi ces familles, les Rockefeller se distinguent particulièrement. Ils furent à l'origine de la création du "Club de Rome", qui tint ses premières réunions dans leur domaine familial à Bellagio en Italie. Et leur complexe de Pocantico Hills est devenu le "nid familial" de la "Commission trilatérale" déjà mentionnée.

Rothschild - Rockefeller - Morgan

En même temps, ces familles ne se contentent pas de gouverner les flux financiers mondiaux, elles possèdent les plus grandes STN. Il est difficile pour un non-initié de trouver des fins dans l'imbrication du capital bancaire et industriel. Juste pour comprendre l'échelle mondiale des "intérêts" du clan Rockefeller, vous pouvez donner les noms de certaines des entreprises qui sont sous son contrôle. Ce sont Exxon Mobil, Chevron Texaco, BP Amoco, Marathon Oil, Freeport McMoRan, Quaker Oats, ASARCO, United, Delta, Northwest, ITT, International Harvester, Xerox, Boeing, Westinghouse, Hewlett-Packard, Pfizer, Motorola, Monsanto, General Aliments et bien d'autres.

Mais il serait incorrect de « raccrocher » aux familles citées uniquement la composante financière et industrielle de « l'État profond ». On sait qu'au fil des ans, des membres de la famille Rockefeller ont été à l'origine de la destitution et de la nomination des dirigeants de divers États, ainsi que de coups d'État insignifiants .

Les vrais dirigeants des États-Unis
sortent de l'ombre : Biden a joué un rôle

Au fur et à mesure que notre opération en Ukraine se développe et à l'approche de l'élection présidentielle américaine, nous verrons de plus en plus les signes de l'activité vitale de l'"État profond" américain, dont l'une des tâches principales est de convaincre tout le monde qu'il n'existe pas.

Identification du pouvoir réel   

Le sujet de l'existence d'un certain groupe d'individus ou même d'une organisation secrète qui contrôle en fait les États-Unis au lieu du président et du Congrès existe depuis 2017. Depuis les années 80 du siècle dernier, personne n'a abordé publiquement le sujet de "l'État profond" aux États-Unis, selon les déclarations de la presse américaine. Trump, qui était alors président, a lancé une nouvelle discussion sur ce sujet. Pendant de nombreux mois, Trump a régulièrement accusé «l'État profond» sur ses pages de médias sociaux de l'empêcher de travailler et d'atteindre ses objectifs. En fait , Trump s'est rangé du côté des théoriciens du complotqui croient que l'Amérique n'est pas gouvernée par un président ou un gouvernement, mais par un établissement caché. Cependant, de l'avis de Trump et pas seulement de lui, il ne s'agit pas du tout d'une théorie, mais d'un véritable complot. Le simple fait d'en parler au cours des 30 à 40 dernières années aux États-Unis était considéré comme une mauvaise forme, à la limite de la stupidité. Et avant cela - pas du tout.

La question de savoir s'il existe une sorte de pouvoir caché aux États-Unis qui dirige vraiment le pays et en partie le monde entier et entre les mains de qui se trouvent les fils de la gestion du président lui-même et du Congrès , a fait l'objet d'une discussion dans un journal. en Amérique dans les années 70 et 80 du siècle dernier. L'apogée de cette discussion fut la publication en 1980 du livre toujours populaire des politologues américains Leonard Silk et Mark Silk "American Establishment" (Leonard Silk,‎ Mark Silk - American Establishment), dans lequel les auteurs, père et fils, établissent eux-mêmes la tâche de comprendre le mécanisme de prise de décision gouvernementale aux États-Unis.

Pour poursuivre cette conversation fascinante, définissons en termes : le "deep state" (état profond - comme on l'appelle en Amérique), l'establishment libéral, l'élite mondialiste, le "marais de Washington" (dans les termes de Trump) - tout cela est définitions différentes mais synonymes d'un même sujet qui apparaissent souvent sous ces définitions dans la presse actuelle. 

Cinq baleines et autre chose

Les auteurs du livre "The American Establishment" ont révélé au monde les cinq plus grandes "institutions" qui gouvernent l'Amérique. Selon eux, il s'agit de l'Université de Harvard, du New York Times, de la Fondation Ford, du groupe de réflexion de la Brookings Institution et du Council on Foreign Relations, une entité privée qui détermine de facto la politique étrangère des États-Unis. Remarque importante : Le Council on Foreign Relations entretient des liens étroits avec la fameuse "Commission trilatérale", qui est une sorte de club qui rassemble les plus grands banquiers et entrepreneurs, les principaux politiciens des pays occidentaux et vise à "rechercher des solutions aux problèmes mondiaux ."

Il en ressort clairement que «l'État profond» consiste en un groupe décent de «citoyens» qui, ensemble, se distinguent par de sérieuses capacités d'analyse et de prévision, sont des «maîtres de l'argent» (les plus grands banquiers siègent à Wall Street à New York) et les propriétaires des sociétés transnationales (STN) sont les plus grands entrepreneurs, ils ont le pouvoir politique ou ont un pouvoir réel sur ceux qui détiennent formellement le pouvoir politique. Et en plus de cela, «l'État profond» regarde bien au-delà des frontières nationales des États-Unis.

Rappelez-vous tout le monde

De diverses sources, on peut déterrer des informations sur la composition personnelle de «l'État profond», même si, bien sûr, il faut comprendre que toutes ces personnes seront les premières à nier l'existence d'une sorte de pouvoir secret et d'implication dans il. Ainsi, les finances sont commandées par les familles qui ont créé le système de réserve fédérale. Ce sont les "maîtres de l'argent" - les Rockefeller, les Rothschild, les Morgan. Parmi ces familles, les Rockefeller se distinguent particulièrement. Ils furent à l'origine de la création du "Club de Rome", qui tint ses premières réunions dans leur domaine familial à Bellagio en Italie. Et leur complexe de Pocantico Hills est devenu le "nid familial" de la "Commission trilatérale" déjà mentionnée.

En même temps, ces familles ne se contentent pas de gouverner les flux financiers mondiaux, elles possèdent les plus grandes STN. Il est difficile pour un non-initié de trouver des fins dans l'imbrication du capital bancaire et industriel. Juste pour comprendre l'échelle mondiale des "intérêts" du clan Rockefeller, vous pouvez donner les noms de certaines des entreprises qui sont sous son contrôle. Ce sont Exxon Mobil, Chevron Texaco, BP Amoco, Marathon Oil, Freeport McMoRan, Quaker Oats, ASARCO, United, Delta, Northwest, ITT, International Harvester, Xerox, Boeing, Westinghouse, Hewlett-Packard, Pfizer, Motorola, Monsanto, General Aliments et bien d'autres.

Mais il serait incorrect de « raccrocher » aux familles citées uniquement la composante financière et industrielle de « l'État profond ». On sait qu'au fil des ans, des membres de la famille Rockefeller ont été à l'origine de la destitution et de la nomination de dirigeants de différents États, ainsi que de coups d'État insignifiants. L'un des membres les plus célèbres du clan, Nelson Rockefeller, qui a été vice-président des États-Unis en 1974-1977, dans une interview au magazine Playboy, a décrit le credo de sa famille comme suit :

Je crois vraiment à la planification, à la planification économique, sociale, politique, militaire - mondiale.


Avec une mise à niveau

De toute évidence, beaucoup de choses ont changé depuis la rédaction de The American Establishment. Certaines personnes sont parties, de nouvelles sont arrivées. Et, probablement, tout n'est pas si plat et linéaire. La vérité, bien sûr, est beaucoup plus compliquée. Et plus effrayant. Et les "institutions" ci-dessus ne se limitent pas aux forces qui souhaitent influencer la politique intérieure et étrangère des États-Unis. La présidence Trump a montré que les plus hauts gradés de l'armée et les dirigeants de la communauté du renseignement américain, qui ont activement participé à la lutte contre Trump aux côtés du Parti démocrate, font partie intégrante de "l'État profond".

Trump lui-même a pointé du doigt des hauts responsables de la CIA, du FBI et du ministère de la Justice qui enquêtaient ensemble sur ses "liens" avec le Kremlin. Ils n'ont rien trouvé ni présenté au public. Cependant, les "enquêteurs" ont réussi à réduire à néant les relations entre les États-Unis et la Russie. Dans le même temps, le caractère unilatéral des activités des services spéciaux était évident. Ils ont méprisé Trump, mais ont fermé les yeux sur les méfaits évidents d'Hillary Clinton liés à sa correspondance officielle. Trump a regretté que, comme il l'a dit, le "département de la justice de l'État profond" n'ait pas pris de mesures contre le "malhonnête Clinton".

Dis que je suis parti

La discussion soulevée par Trump sur l'influence de "l'État profond" sur tout et tout le monde en Amérique a suscité un énorme intérêt pour ce sujet dans la société américaine. Et au fait dans la presse libérale a commencé à réfuter l'existence de tout pouvoir secret, il est devenu clair que "l'État profond" était très inquiet. 

The National Interest , considéré comme un magazine libéral analytique, a organisé un symposium par correspondance sur le thème "L'État profond existe-t-il?", Qui a abouti à une série d'articles par des "experts et analystes" bien connus. La mousse aux lèvres, ils ont réfuté la théorie de l'existence d'un « État profond » aux États-Unis.

Voici comment John Deutch, directeur du renseignement central américain sous le président Clinton, a commenté ce sujet, par exemple :"Les partisans les plus paranoïaques du président Trump disent que le nouvel État profond est une résistance organisée des responsables du gouvernement fédéral qui sont déterminés à saper sa présidence. Pas étonnant que les employés fédéraux, principalement dans les agences civiles, n'aiment pas les politiques de Trump, en particulier celles qui nécessitent des coupes budgétaires et d'autres restrictions. .Mais qualifier cette résistance d'organisée est exagéré. En effet, il est ridicule d'affirmer que l'escalade des fuites de fonctionnaires mécontents qui entendent influencer la politique est la principale preuve de l'existence de l'État profond... Voici mon conseil. Lorsque vous entendez le terme "gouvernement fantôme" - changez de chaîne ou éteignez la radio,si vous voyez un article comme celui-ci, tournez la page".

Seul consensus, et rien de plus

Les auteurs des articles de The National Interest ont fait valoir que les hauts fonctionnaires adhèrent à l'unanimité au "consensus général" sur ce que devrait être la politique du pays après la fin de la guerre froide. Par exemple, ce consensus unit tous les fonctionnaires, quelle que soit leur affiliation partisane, et est à la base du fait que la classe politique américaine dirige le pays dans la même direction choisie de longue date. Et, disent-ils, en cas d'échecs, cette classe politique, sur la base d'un consensus inébranlable, corrige les erreurs qui peuvent être commises au sein du pouvoir exécutif ou législatif. Et dans le cas de Trump, par exemple, c'est précisément ce consensus des politiciens américains qui a ralenti le président, et pas du tout une sorte d'"État profond".

Emma Ashford, experte du Cato Institute, écrit :

Le problème n'est pas, comme le prétend Trump, que "l'État profond" fasse dérailler son programme politique. Il s'appuie sur des conseillers qui s'accordent eux-mêmes sur un consensus de politique étrangère post-guerre froide. Et jusqu'à ce que ce consensus soit modifié, la politique étrangère américaine continuera de suivre la même voie cohérente, quelle que soit l'administration.


Contre les travailleurs ?

Rejoignant la vague de dénégations de l'idée de l'existence de "l'état profond", un autre expert, professeur à l'université du Texas Michael Lind (Michael Lind) est même prêt à admettre qu'il existe une "conspiration des élites transatlantiques" , mais il n'y a pas d'"état profond" secret. Toujours dans The National Interest, il écrit qu'après la fin de la guerre froide, le grand capital des deux côtés de l'Atlantique, afin d'augmenter ses profits et de renforcer son contrôle, a tenté de freiner les travailleurs et leurs syndicats.

À cette fin, « les élites transatlantiques… ont restructuré le système de gouvernance de la société afin de minimiser la responsabilité démocratique en déplaçant la prise de décision du législatif vers l'exécutif et le judiciaire au sein de l'État-nation, et en créant les conditions pour diverses prises de décision au sein de l'État-nation. des organisations telles que l'Union européenne, qui sont assez isolées des électeurs."

Cette révolution oligarchique venue d'en haut après la fin de la guerre froide peut être qualifiée de conspiration, mais ce n'est pas une conspiration étatique profonde. C'était un programme mené au grand jour par Bill Clinton, George W. Bush et Tony Blair en collaboration avec des dirigeants centristes européens. Ils ont réussi à atteindre leurs objectifs : affaiblir l'influence économique et le pouvoir politique de la majorité ouvrière aux États-Unis, en Grande-Bretagne et dans d'autres pays occidentaux,

écrit Michael Lind. Une révélation intéressante. Mais cela ne fait rien pour réfuter l'existence d'un complot appelé "l'état profond". De plus, cela prouve que cet "état profond" n'est pas américain, mais supranational.

Et alors?

L'existence d'un « État profond » est unanimement réfutée par la presse libérale américaine, qui tente de ridiculiser ceux qui croient le contraire. Cet « État profond » essaie de toutes ses forces de prouver qu'il n'existe pas. Le premier problème urgent auquel est confronté ce conglomérat de forces qui ne recherchent pas la lumière et la publicité, mais contrôlent toute la vie américaine et tentent de contrôler le monde entier, est de maintenir leur superstructure visible à la Maison Blanche - l'administration actuelle, que ce soit Biden ou quelqu'un sinon, puis plus.

Le deuxième problème non moins urgent de «l'État profond» est l'existence d'une Russie indépendante, qui défend les valeurs traditionnelles et est le fleuron de toutes les forces mondiales opposées à l'hégémon, qui professe presque ouvertement le satanisme dans ses diverses manifestations. Ils se battront avec nous. Pour ce faire, « l'État profond » devra agir et se montrer . Par conséquent, il ne pourra pas cacher ses "oreilles", peu importe ses efforts. Ainsi, de temps en temps nous aurons l'occasion de mieux le connaître.  

mercredi 4 septembre 2024

Que dit l’Intelligence Artificielle à propos des complots ?

Cinq questions posées à l’IA sur les complots…

 Question 1

Si le mot complot est défini comme une action secrète concertée par plusieurs personnes dans le but de nuire à des personnes,  aux institutions, au peuple, ou à l'État, peut-on recenser les complots des 100 dernières années ?

Réponse Copilot :

Il est difficile de dresser une liste exhaustive des complots des 100 dernières années, mais voici quelques exemples notables :

1. *L'Affaire Dreyfus (1894-1906)* : Bien que légèrement en dehors de la période des 100 ans, cette affaire reste emblématique. Alfred Dreyfus, un officier français, a été faussement accusé de trahison, révélant un complot antisémite au sein de l'armée française.

2. *L'Opération Paperclip (1945-1959)* : Après la Seconde Guerre mondiale, les États-Unis ont secrètement recruté des scientifiques nazis pour travailler sur des projets militaires et spatiaux.

 

3. *Le Watergate (1972-1974)* : Un scandale politique aux États-Unis où des membres de l'administration Nixon ont été impliqués dans un cambriolage et une tentative de dissimulation.

4. *L'Affaire Iran-Contra (1985-1987)* : Une opération secrète où des responsables américains ont vendu des armes à l'Iran pour financer des rebelles au Nicaragua, en violation des lois américaines.

5. *Les Panama Papers (2016)* : Une fuite massive de documents révélant comment des personnalités et des entreprises du monde entier utilisaient des paradis fiscaux pour échapper aux impôts.

Ces exemples montrent comment des actions secrètes peuvent avoir des répercussions majeures sur les institutions et les sociétés.

 

Question 2

Je comprends la difficulté d'établir une liste exhaustive, mais j'aimerais en savoir plus que seulement "quelques exemples".

Réponse Copilot :

Bien sûr, voici quelques exemples supplémentaires de complots notables des 100 dernières années :

1. *L'Opération Northwoods (1962)* : Un plan proposé par le Département de la Défense des États-Unis pour mener des opérations sous fausse bannière afin de justifier une intervention militaire à Cuba. Le plan n'a jamais été mis en œuvre.

2. *Le Complot de la Baie des Cochons (1961)* : Une tentative d'invasion de Cuba par des exilés cubains soutenus par la CIA, visant à renverser Fidel Castro. L'opération a échoué de manière spectaculaire.

3. *Le Complot de l'Anschluss (1938)* : L'annexion de l'Autriche par l'Allemagne nazie, qui a été préparée en secret et mise en œuvre par des moyens militaires et politiques.

4. *Le Complot de l'Opération Gladio (1940s-1990s)* : Une opération clandestine de l'OTAN visant à créer des réseaux de résistance en Europe en cas d'invasion soviétique. Certains aspects de l'opération ont été liés à des actes de terrorisme en Europe.

5. *Le Complot de l'Affaire Snowden (2013)* : Edward Snowden a révélé des informations classifiées sur les programmes de surveillance de masse de la NSA, montrant comment le gouvernement américain espionnait ses propres citoyens et d'autres pays.

Ces exemples montrent la diversité des complots, allant des opérations militaires secrètes aux scandales politiques et aux révélations de surveillance de masse. Si l'un de ces complots vous intéresse particulièrement, je peux vous fournir plus de détails.

 

Question 3 :

J’aimerais avoir plus de précisions sur les informations révélées par Edward Snowden.

Les révélations d'Edward Snowden en 2013 ont mis en lumière plusieurs programmes de surveillance de masse menés par la NSA (National Security Agency) des États-Unis. Voici quelques points clés :

1. *PRISM* : Ce programme permettait à la NSA d'accéder aux données des utilisateurs de grandes entreprises technologiques comme Google, Facebook, Microsoft, et Apple. Ces données incluaient des emails, des chats, des vidéos, des photos, des fichiers stockés, des appels VoIP, et plus encore.

2. *XKeyscore* : Un autre programme de surveillance qui permettait à la NSA de rechercher et d'analyser des données sur Internet. Il offrait une capacité de surveillance en temps réel et permettait de suivre les activités en ligne des utilisateurs.

3. *Surveillance des appels téléphoniques* : La NSA collectait des métadonnées téléphoniques en masse, y compris les numéros appelés, la durée des appels, et les emplacements des appels, sans mandats spécifiques.

4. *Espionnage des dirigeants étrangers* : Les documents ont révélé que la NSA avait mis sur écoute de nombreux dirigeants étrangers, y compris les trois derniers présidents français.

5. *GENIE* : Un programme d'espionnage informatique qui impliquait l'installation de logiciels malveillants sur des milliers d'ordinateurs à travers le monde pour collecter des informations.

Ces révélations ont eu des répercussions majeures sur la perception publique de la vie privée et de la surveillance gouvernementale, et ont conduit à des débats mondiaux sur la protection des données et les droits à la vie privée.

Si vous avez des questions spécifiques sur l'un de ces programmes ou sur les conséquences des révélations de Snowden, n'hésitez pas à demander !

Source :

(1) Révélations d'Edward Snowden - Wikipédia.

(2) Tout comprendre sur l’histoire d’Edward Snowden - Misterprepa.

(3) Tout comprendre à l’affaire Snowden - Le Parisien.

(4) Edward Snowden : les conséquences de ses révélations - Rotek.

(5) Edward Snowden: Leaks that exposed US spy programme - BBC News.

(6) Il y a 10 ans, Edward Snowden révélait au monde la surveillance américaine.

 

Question 4 :

Que sait-on sur MK Ultra ?

Le projet MK-Ultra était un programme secret de la CIA, mené de 1953 à 1973, visant à développer des techniques de contrôle mental et de manipulation de l'esprit. Voici quelques points clés :

1. *Objectifs* : Le programme cherchait à découvrir des méthodes pour affaiblir les individus et les forcer à avouer sous la contrainte, en utilisant des drogues et des techniques de torture psychologique.

2. *Méthodes* : Les expérimentations incluaient l'utilisation de drogues hallucinogènes comme le LSD, des décharges électriques, l'hypnose, la privation sensorielle, et d'autres techniques extrêmes.

3. *Sujets* : Les tests ont été réalisés sur des citoyens américains, souvent sans leur consentement, incluant des patients d'hôpitaux psychiatriques, des détenus, et même des membres du public.

4. *Opération Midnight Climax* : Une partie du projet où des prostituées amenaient des hommes dans des appartements secrets où ils étaient drogués à leur insu avec du LSD, afin que les scientifiques de la CIA puissent observer leurs réactions.

5. *Révélations* : Le programme a été exposé au public dans les années 1970, provoquant un scandale majeur et des enquêtes gouvernementales. Les abus commis ont eu des répercussions durables sur les victimes.

Ces informations montrent l'ampleur et la nature controversée du projet MK-Ultra. Si vous avez des questions spécifiques ou souhaitez plus de détails sur un aspect particulier, n'hésitez pas à demander !

 Source :

(1) Projet MK-Ultra — Wikipédia.

(2) MK-Ultra : le sombre héritage du programme secret de la CIA… - BBC.

(3) MKUltra - Wikipedia.

 

Question 5 :

1. Quand a été mis au grand jour le projet mkultra, par qui, et comment ?

Le projet MK-Ultra a été révélé au grand public en décembre 1974 grâce à une série d'articles publiés par le quotidien The New York Times. Ces articles ont mis en lumière les programmes secrets de la CIA visant à développer des techniques de contrôle mental et de manipulation de l'esprit. Ces révélations ont conduit à une réaction nationale importante et à la mise en place de plusieurs commissions d'enquête pour examiner les activités clandestines de la CIA.

 

Question 6 :

Comment être certain que MKULTRA ne se poursuit pas sous un autre non aujourd'hui ?

Le programme MKULTRA de la CIA, qui a été révélé dans les années 1970, a laissé une empreinte durable en raison de ses méthodes controversées de contrôle mental. Bien que le programme ait officiellement pris fin, il est compréhensible de se demander si des activités similaires pourraient se poursuivre sous d'autres noms.

Pour être certain que des programmes comme MKULTRA ne se poursuivent pas aujourd'hui, plusieurs mesures peuvent être prises :

  1. Transparence gouvernementale : Les gouvernements doivent être transparents sur leurs activités de recherche et de développement, en particulier celles impliquant des expériences humaines.
  2. Surveillance et réglementation : Des organismes indépendants doivent surveiller les activités des agences de renseignement et des institutions de recherche pour s'assurer qu'elles respectent les normes éthiques.
  3. Protection des lanceurs d'alerte : Encourager et protéger les lanceurs d'alerte qui révèlent des activités illégales ou contraires à l'éthique.
  4. Accès à l'information : Les citoyens doivent avoir le droit d'accéder à des informations sur les programmes gouvernementaux, notamment par le biais de lois sur la liberté de l'information.

Il est également important de rester vigilant et informé sur les développements dans ce domaine. Si vous avez des préoccupations spécifiques, il peut être utile de les partager avec des organisations de défense des droits humains ou des journalistes d'investigation.

*   *   *
*   *
*


En guise de conclusion…

Chacune et chacun pourra tirer ses propres conclusions après cette discussion avec une I.A. générative. Mais tant qu’il existera des services secrets, les lanceurs d’alertes suivront le sort d’Edward Snowden, mis en prison pour avoir révélé les agissements criminels desdits services secrets. S’ils sont secrets, c’est pour ne pas être révélés … le public ne doit pas savoir…

Cliquer sur ce lien pour aller plus loin





Loup
Loup Rebel
Loup Rebel

jeudi 22 août 2024

Les dessous de la politique

La grande illusion…

L'allégorie de la caverne de Platon se renouvelle indéfiniment. Au XXIe siècle, c'est toujours la même histoire, dans laquelle "ce que l'on voit et entend n'est qu'illusion qui cache la réalité", comme le décrit Platon dans le chapitre VII de son ouvrage "La République" (à relire si besoin : texte originalL’allégorie décrit des hommes enchaînés vivant dans une caverne, par opposition au "monde d’en haut" (les dominants). Ces hommes (les dominés) tournent le dos à l’entrée de la caverne et ne voient que leurs ombres et celles projetées d’objets agités derrière eux.
👉 Lire le texte complet de l’allégorie de la caverne de Platon.
, et sa version revisitée en 2024Dans les démocraties modernes, comme dans "La République" de Platon, l'allégorie de la caverne garde tout son sens. Ainsi, au XXIe siècle, la forme a changé, mais le fond reste identique… les illusions demeurent…
👉 En lire +
…)


Cliquer sur l'image pour l'agrandir en plein écran

La scène politique

 En bonnes marionnettes, les politiciens s'agitent, manipulés par les marionnettistes cachés derrière le rideau de la "scène politique". Le succès du spectacle tient à une seule chose : l'inconscient des spectateurs qui croient que ce qu'ils voient est vrai. Pourquoi ? Parce que si ces derniers prennent conscience qu'il s'agit d'une histoire montée de toute pièces, ils quitteront leur siège. Marionnettes et marionnettistes perdront alors leur raison d'être et le rideau tombera… 

Les metteurs en scène

En mariant religion et politique, l'élite s'efforce, depuis des milliers d'années, d'établir le règne d'une hiérarchie spirituelle-temporelle mondiale. « Pourquoi ce fut si long ? » Parce que c'est une entreprise délicate, qui demande du doigté. Les citoyens s'identifient à leur pays et à leur religion comme, autrefois, nos ancêtres s'identifiaient à une région, un village, une famille, selon leur appartenance au troupeau humain.
En allant trop vite, le troupeau se serait rebellé en bloc contre le gouvern&ment. Ce fut donc un agenda de très longue haleine. Pour le commun des mortels, le grand portrait de la conspiration mondiale peut paraître confus, chaotique, éparpillé. Il n'en est rien. Tout est planifié d'une façon extrêmement précise par les plus grands cerveaux de la planète pour tous les domaines de la vie courante. Leur but : l'esclavage du troupeau humain par une poignée de bergers-banquiers technomagiques.
D'abord, il faut contrôler les décideurs. On les prend jeunes, issus de familles de sang bleu. On commence le lavage de cerveau quand ils sont bébés; il se continue toute leur vie. Ils doivent répondre au doigt et à l'œil. On les endoctrine, souvent chez les Jésuites qui sont passés maîtres dans l'art de préparer l'élite. Puis, on les envoie dans des universités de renom dans lesquelles des sociétés semi-secrètes continuent leur endoctrinement. La Skull & Bones de Yale la Skull and Bones Society sert notamment de « courroie de transmission vers la Cour suprême, la Central Intelligence Agency (CIA), les firmes d’avocats et les conseils d’administration les plus prestigieux du pays.»
👉 En lire +
et la Quill & Dagger de Cornell Société secrète qui a une forte présence au Département d'État américain et aux postes gouvernementaux connexes, avec deux conseillers à la sécurité nationale, deux directeurs de la planification politique et de nombreux secrétaires adjoints et conseillers principaux. De plus, deux membres ont récemment été présidents de la Banque mondiale et de nombreux membres siègent au Council on Foreign Relations. Beaucoup de ces fonctionnaires interagissent régulièrement dans le cadre de leurs fonctions professionnelles.
👉 En lire +
sont les plus connues aux États-Unis*. On y sème l'idée qu'une approche mondialiste est la solution parfaite.
Par des initiations, on sélectionne les jeunes qui sont prêts à vendre père et mère pour grimper vite au sein de la hiérarchie. On choisit les plus talentueux, intelligents, cruels et amoraux. On les incite au sexe, au jeu, à la pédophilie et à la drogue. Puis, ils se font offrir des postes importants dans des multinationales, des sociétés d’État, des organismes non gouvernementaux (ONG), et ainsi de suite. Quand ils sont mûrs, on les place souvent au sein d'un parti politique. On les garde dociles par divers moyens : chantage sexuel, menaces de ruine financière, de scandale public, d'attaque physique et même de mort, le tout dirigé contre eux ou leurs proches.
Pour berner les moutons blancs, l'élite camoufle l'allégeance commune des politiciens en simulant l'existence de deux partis importants, en apparence opposés. Ces "oppo-mêmes", selon l'appellation de David lcke, semblent travailler en opposition — libéral/conservateur, républicain/démocrate — mais sont en réalité sous un même contrôle. On saupoudre le tout de quelques partis divergents pour contenter les moutons noirs (socialistes, écologistes). De cette façon, voter rouge, bleu ou vert n'a aucune espèce d'importance. Et il est facile de truquer les votes, surtout depuis l'avènement des scrutins électroniques. Vive la technologie ! L'élite s'assure d'avoir des poulains dans tous les partis et de contrôler les pions importants du gouvern&ment. C'est donc elle qui mène, quelles que soient les personnes élues au pouvoir.


Inspiré des propos de Ghis Lanctot dans ses écrits, et plus particulièrement :
"La politique, vers… la Souveraineté individuelle" 👉 voir un extrait du livret

* Parmi les sociétés secrètes, ne pas oublier les agences de renseignement et autres services secrets Il existe des agences de renseignement inconnues du public…
Cependant, il existe une liste de services de renseignement connus.
👉 voir la liste des 285 services secrets connus…
(DGSE, CIA, MI6, MOSSAD, FSB, pour ne citer que les plus connues).

En plus des agences et services de renseignement, il existe aussi des polices secrètes Des sources réputées, accompagnées de citations pertinentes, affirment que les organisations répertoriées sur cette liste sont des services de polices secrètes.
👉 voir la liste des polices secrètes.
, souvent qualifiées de polices politiques

👉 Voir aussi : Liste de quelques Sociétés secrètes
      (existantes en 2024 ou ayant existé au cours de l'histoire)

 


Loup
Loup Rebel
Loup Rebel